Publié le - Mis à jour le 19 mars 2019
Sécurité
Ces travaux menés en laboratoire par le Centre du sommeil de l’Hôtel-Dieu - Université Paris Descartes révèlent qu’une privation partielle de sommeil pendant deux nuits consécutives modifie des marqueurs biologiques présents dans la salive. Ils confirment aussi que la privation de sommeil, source de somnolence, augmente, par ailleurs, l’inattention et le stress.